L’un porte un t-shirt blanc
et son haleine alcoolisée au visage d’une des filles. Laisse échapper un
rot, persifle: «Sales bougnoules… Vous allez en chier, nous au moins on n’est pas au chômage… » Puis à la fille qui recule sur sa chaise: «Sale pute, c’est à cause de toi que j’ai une croix gammée sur le bras !» Elle porte plainte. Et identifie J. B. comme l’homme au t-shirt blanc.
jeudi 19 avril 2012
Roubaix: agressée en terrasse par un néo-nazi dont elle a refusé les avances
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